Le Financial Times s’associe à OpenAI pour un journalisme innovant basé sur l’IA.

Le potentiel de l’IA dans le secteur mondial de la licence

Le secteur mondial de la licence de l’intelligence artificielle est sur le point de connaître une croissance significative. Illustrant cette tendance, le prestigieux Financial Times, basé au Royaume-Uni, a conclu une collaboration prometteuse avec la principale entreprise d’IA, OpenAI.

Ouvrir de nouvelles voies pour les outils d’IA

L’accord donne à OpenAI accès aux articles du Financial Times pour améliorer les interactions des utilisateurs sur des plateformes telles que ChatGPT. Les utilisateurs pourraient bientôt rencontrer des résumés, des citations et des liens vers les articles du journal intégrés à leurs requêtes pilotées par l’IA. Chaque réponse présentant des informations du Financial Times attribuera correctement la source au journal. De plus, le partenariat vise à promouvoir le développement de nouveaux outils d’IA, promettant des avancées lucratives pour OpenAI.

Financial Times adopte l’IA, préserve le journalisme humain

Utilisant déjà les services d’OpenAI et soutenant son utilisation d’entreprise de ChatGPT, le Financial Times a lancé une version bêta d’une fonction de recherche d’IA générative en mars 2024. Basée sur le Modèle de Langage Large d’Anthropics Claude, la fonction « Ask FT » aspire à permettre aux abonnés de poser des questions sur les événements actuels et de découvrir du contenu rapporté par le Financial Times. Malgré l’adoption de la technologie IA, le PDG John Ridding assure un engagement continu envers le journalisme humain et souligne les avantages des plateformes d’IA rémunérant les éditeurs pour l’utilisation du contenu.

L’expansion des licences d’OpenAI chez les géants des médias

Le Financial Times n’est pas le premier à conclure un accord avec OpenAI ; une série de prestigieuses maisons de médias, notamment l’allemand Axel Springer, les organisations américaines Business Insider et Politico, et le français Le Monde, ont signé des accords avec le géant de l’IA offrant leur contenu pour l’entraînement des modèles d’IA. Reconnaissant l’importance des sources fiables dans les applications d’IA, OpenAI verse un montant supposé de 1 à 5 millions de dollars par an pour les licences de contenu, un chiffre nettement inférieur à ceux des homologues technologiques comme Apple.

Défis juridiques des médias

Cependant, toutes les entités médiatiques ne sont pas désireuses de partager leur contenu avec OpenAI. Certaines organisations, dont l’influent New York Times, ont engagé des poursuites judiciaires contre OpenAI et Microsoft pour violation de droits d’auteur, alléguant que ChatGPT reproduit leur contenu textuel. D’autres médias basés aux États-Unis tels que The Intercept, Raw Story et AlterNet ont emboîté le pas avec des accusations similaires dans des affaires judiciaires distinctes.

The source of the article is from the blog kewauneecomet.com

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