La Révolution de l’Intelligence Artificielle : Nouvelle Approche et Perspectives

Dans un mouvement révolutionnaire, les États-Unis ont sollicité le Royaume-Uni pour obtenir son soutien dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA). Michelle Donelan, secrétaire aux sciences, s’est récemment rendue à Washington, DC pour signer un important accord de coopération entre les instituts britanniques et américains spécialisés dans la sécurité de l’IA. Ce partenariat fait suite à des mois de diplomatie discrète, mettant en valeur l’expertise et les avancées du Royaume-Uni dans la technologie de l’IA.

Surnommée la « relation spéciale » entre le Royaume-Uni et les États-Unis, l’IA est devenue une partie intégrante des accords de renseignement et de défense de longue date qui lient les deux nations. Michelle Donelan a critiqué l’Union européenne (UE) pour ses réglementations hâtives sur l’IA, les contrastant avec l’approche collaborative adoptée par les États-Unis et le Royaume-Uni.

« Les États-Unis se tournent vers nous en ce moment car nous sommes déjà plus avancés en ce qui concerne notre institut », explique Mme Donelan. Elle ajoute, « Nous partageons à la fois notre expertise et des informations sur la technologie qui décidera de cette génération. » L’accord de coopération, signé avant une élection générale, protège contre d’éventuelles réglementations excessives de l’UE qui pourraient être adoptées par un nouveau gouvernement travailliste.

La création d’instituts de sécurité en IA par les deux gouvernements a été annoncée autour du moment du sommet de Bletchley Park de l’année dernière. Alors que l’institut britannique est opérationnel depuis novembre, recevant un investissement initial de £100 millions, il a également réussi à attirer des talents de premier plan. En revanche, l’institut américain, basé à l’Institut national des normes et de la technologie, est confronté à un sous-financement sévère, luttant avec des infrastructures délabrées et des ressources limitées, comme le rapporte The Washington Post.

De petites équipes des deux côtés ont été en contact régulier depuis le sommet de Bletchley Park, avec des centaines d’appels et d’e-mails échangés. Le Royaume-Uni a joué un rôle crucial en conseillant les États-Unis sur la mise en place de leur institut, conduisant à la conclusion réussie d’un accord de coopération formel. En mars, Mme Donelan et Gina Raimondo, la secrétaire au commerce des États-Unis, se sont rencontrées en personne en marge d’une réunion du G7 à Vérone. La signature de l’accord cette semaine a été célébrée alors que les deux se sont donné un high-five après la cérémonie, à l’écart des caméras.

Dans sa déclaration, Mme Donelan a affirmé avec audace que le Royaume-Uni est à l’avant-garde des avancées en matière d’IA, exprimant des inquiétudes concernant la précipitation de l’UE à légiférer sur une technologie qui n’est pas encore pleinement comprise. Elle estime que cette approche permet au Royaume-Uni d’influencer les normes mondiales et les approches en matière d’IA.

Le Parti travailliste soutient la collaboration avec les États-Unis sur la sécurité de l’IA et les opportunités économiques, soulignant la nécessité de la réglementation pour stimuler l’innovation et la croissance tout en garantissant la sécurité. Ils soulignent également que le Royaume-Uni est à la traîne par rapport aux États-Unis dans la mise en place de garde-fous domestiques.

Avec le Royaume-Uni émergeant en tant que leader mondial en matière d’IA, son expertise et sa coopération avec les États-Unis sont destinées à façonner l’avenir de cette technologie transformative.

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