Une spéciale de comédie générée par l’IA reçoit des réactions mitigées

Dans un renversement surprenant des événements, une spéciale de comédie générée par l’IA sur YouTube a déclenché un débat sur les limites de l’art et la préservation de l’héritage d’un comédien. Intitulée « George Carlin : Je suis content d’être mort ! », cette spéciale d’une heure met en vedette une « imitation » de George Carlin, légendaire comique connu pour ses commentaires sociaux mordants, générée par l’IA.

Cette spéciale, attribuée à la personnalité générée par l’IA, Dudesy, a suscité la critique de Kelly Carlin, la fille de Carlin. Dans une déclaration publiée sur les réseaux sociaux, elle a exprimé son désaccord, affirmant que le génie de son père ne pourrait jamais être reproduit par une machine. Elle a exhorté le public à laisser l’œuvre originale de l’artiste parler d’elle-même et a suggéré de soutenir les comédiens vivants. Les préoccupations de Kelly Carlin reflètent un sentiment plus large au sein de la communauté artistique, où la crainte que la technologie remplace la créativité humaine est omniprésente.

Alors que certains défendent cette spéciale générée par l’IA comme une forme d’art qui met en valeur l’héritage de Carlin, d’autres partagent les réserves de Kelly Carlin. Le débat sur les implications éthiques de l’utilisation de l’IA dans les entreprises créatives continue de croître avec le progrès de la technologie.

Dudesy, l’hôte de podcast généré par l’IA derrière cette spéciale, n’en est pas à sa première controverse. Auparavant, un sketch mettant en scène la voix générée par l’IA de Tom Brady, l’ancien quart-arrière des Patriots de la Nouvelle-Angleterre, avait été retiré de YouTube en raison de menaces légales de la part de Brady lui-même.

Alors que l’IA continue de façonner diverses industries, y compris le divertissement, elle soulève des questions profondes sur la nature de la créativité et le rôle des artistes humains. Bien que le contenu généré par l’IA puisse offrir des expériences nouvelles et innovantes, il ne remplacera probablement jamais complètement l’authenticité et l’unicité que les artistes apportent à leur métier. Le débat sur les spéciales de comédie générées par l’IA telles que « George Carlin : Je suis content d’être mort ! » rappelle que, finalement, le toucher et la perspective humains ne peuvent être reproduits par des machines.

The source of the article is from the blog enp.gr

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