La Nouvelle Ère de l’Intégrité Financière: Lutte contre le Blanchiment d’IA

La pratique trompeuse du « blanchiment d’IA » a attiré l’attention de la Commission des valeurs mobilières des États-Unis (SEC), qui prend des mesures fermes contre les entreprises qui font de fausses déclarations sur l’utilisation de l’intelligence artificielle. Cette répression est motivée par l’engagement de la SEC à protéger les investisseurs et à maintenir l’intégrité du marché.

Alors que la popularité de l’IA continue de croître en flèche, la SEC surveille de près les conseillers en investissement et les sociétés cotées en bourse qui exagèrent leurs capacités en matière d’IA pour manipuler les cours des actions et attirer des clients. Le président de la SEC, Gary Gensler, a souligné l’importance de la vérité en la matière et met en garde contre les conseillers en investissement qui prétendent faussement utiliser des modèles d’IA pour offrir de meilleurs rendements à leurs clients.

Des actions d’application récentes de la part de la SEC ont entraîné des accusations contre des entreprises impliquées dans le blanchiment d’IA. Un exemple est celui de Delphia, une entreprise de « conseiller robotique » sanctionnée par la SEC pour avoir fait de fausses déclarations sur l’utilisation de l’apprentissage automatique pour prendre des décisions d’investissement. Cette pratique trompeuse a été réalisée à travers des communiqués de presse et a perduré pendant plusieurs années, même s’il n’y avait aucune substance ou vérité derrière les affirmations. Delphia a été condamnée à des amendes en conséquence.

Un autre cas a impliqué Global Predictions, qui prétendait utiliser des prévisions d’IA expertes mais n’a pas fourni de preuves pour étayer cette affirmation lorsqu’elle a été interrogée par la SEC. Il a été découvert que l’entreprise n’avait pas réellement utilisé l’IA comme annoncé. Pour leurs pratiques trompeuses, Global Predictions a également été condamnée à des amendes et des pénalités.

La répression de la SEC sur le blanchiment d’IA est essentielle étant donné le nombre croissant de noms de domaines enregistrés en .ia, qui a atteint 353 928 au 18 janvier. Cependant, il reste incertain combien de ces domaines appartiennent réellement à des entreprises qui utilisent réellement la technologie de l’IA. Définir l’IA elle-même est une tâche complexe, avec diverses interprétations et degrés de sophistication. Ce défi rend difficile de différencier entre l’automatisation simple et les capacités d’IA avancées, mettant en évidence davantage le besoin de l’intervention de la SEC.

Pour éviter de se perdre dans des débats philosophiques sur la nature de l’IA, la SEC se concentre sur la répression des mensonges prouvables devant les tribunaux. Un exemple d’une telle action d’application est le cas de Brian Sewell et de sa société Rockwell Capital Management LLC. Sewell aurait levé 1,2 million de dollars pour un fonds qui utiliserait des « algorithmes informatiques », de « l’intelligence artificielle » et des « modèles d’apprentissage automatique » pour le trading de cryptomonnaie. Cependant, la SEC a découvert que Sewell et son fonds n’avaient aucune de ces fonctionnalités technologiques, exposant leurs fausses déclarations.

L’essor de l’IA attire l’attention à la fois des investisseurs et des fraudeurs. Les investisseurs reconnaissent le potentiel de l’IA pour révolutionner divers secteurs, ce qui les rend vulnérables aux fausses déclarations. En réponse, la SEC est déterminée à envoyer un avertissement clair aux fraudeurs qui cherchent à exploiter cet engouement croissant. En luttant contre le blanchiment d’IA, la SEC vise à protéger les investisseurs contre des informations trompeuses et à garantir un paysage d’investissement plus transparent et digne de confiance.

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